Le Serpent Rouge
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Le texte du "Serpent Rouge" serait extrait de l'opuscule de l'abbé Th. MOREUX intitulé "L'alchimie moderne" édité en 1924.
AXIS MUNDI - La méridienne de Paris (A. Douzet)
Ce texte contient la localisation des deux caches du trésor de Rennes ainsi que la composition de ce fabuleux dépôt.
"c'était un songe que j'avais fait ce 17 JANVIER, fête de Saint SULPICE."
"quatre œuvres de Em. SIGNOL autour de la ligne du Méridien, au chœur même du sanctuaire "
La Méridienne de Paris est matérialisée dans l'église Saint Sulpice :
"Voilà la septième sentence qu'une main avait tracée : |
"voilà le signe que DELACROIX avait donné dans l'un des trois tableaux de la chapelle des Anges."
17 janvier à Saint Sulpice
"et la spirale dans mon esprit devenant comme un poulpe monstrueux expulsant son encre"
RENNES-LE-CHATEAU
Les Bergers d'Arcadie - 1640
"découvrir les soixante-quatre pierres dispersées du cube parfait"
L'historien Procope dans son Histoire sur le trésor du Temple de Salomon, consacrera trois pages - pages 15, 16 et 17- au fait que le trésor a bien été "éparpillé" dans la région du Razès sur les conseils de St Ambroise. Au Vatican deux écrits authentiques le certifient.
La Méridienne de Paris passe par le tombeau des Pontils (près de Rennes le Château) représenté sur "Les Bergers d'Arcadie" de Nicolas POUSSIN.
"J'étais comme les bergers du célèbre peintre POUSSIN, perplexe devant l'énigme : "ET IN ARCADIA EGO..."!
Lieux évoqués de la région de Rennes-le-Château :
La Tombe du Christ à Rennes-les-Bains ?
"roc blanc" = Château de Blanchefort
"roc noir" = Roco Negro
"Fort blanc" = le château des Templiers du Bézu (Albedunum)
"L'opuscule "Le Serpent Rouge", tout d’abord, qui affirme que la tombe en question est visible depuis Blanchefort.
Les nombreux indices émaillant leurs textes renvoient systématiquement à Rennes-les-Bains. Il en va ainsi des pseudonymes choisis pour signer les opuscules. L’un d’eux est Walter Celse-Nazaire. Or Celse et Nazaire sont les deux saints auxquels est consacrée l’église de Rennes-les-Bains. Un autre nom de plume est Madeleine Blancasal, un nom qui évoque clairement la Blanque et la Salz, deux cours d’eau se rejoignant à l’entrée Sud de Rennes-les-Bains, non loin de la source de la Madeleine.
Serpent Rouge donne une descrïption assez vague de la sépulture de Marie-Madeleine. Elle est cependant suffisamment précise pour signaler qu’il existe à côté de la sépulture de la sainte d’autres tombeaux.
Si Serpent Rouge ne donne à ce sujet aucun autre indice, un autre écrit de Pierre Plantard sous-entend que parmi ces sépultures se trouve celle du Christ.
Dans Au pays de la Reine blanche, Plantard affirme en effet que la pensée médiévale associait les trois rochers gardant l’entrée nord de Rennes-les-Bains (Rocko-Negro, Roc Pointu, et Blanchefort) aux trois rois Mages.
Or, cette affirmation, ne reposant sur aucune source historique, doit être considérée comme un indice de plus laissé par Plantard pour permettre au lecteur qui saura le lire de comprendre le fin mot du singulier message peu à peu délivré par lui.
Or, les trois rois mages entourant selon la tradition l’enfant Jésus à sa naissance, ce que le texte semble signifier c’est que les trois rochers évoqués entourent également Jésus ? dont le corps, dès lors, reposerait dans un ensemble souterrain situé à l’entrée nord de Rennes-les-Bains…
"Dans le sanctuaire pourtant le bénitier, fontaine d'amour des croyants redonne mémoire de ces mots : PAR CE SIGNE TU le VAINCRAS."
In hoc signo vinces - 4
Le sceau sur le document le Serpent Rouge.
"Pommes bleues" le 17 janvier sur le sceau de l'église de RLC.
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Ce sceau ressemble beaucoup au "Talisman Crista" encore appelé "Sainte Croix de Tolède".
Les Quatre Saisons - L'hiver ou le Déluge
L'église de Saint-Germain-des-Prés, anciennement appelée abbaye Saint-Vincent-et-Sainte-Croix, dont la construction fut achevée en 558, sur ordre du roi Childebert I, abrita le Talisman Mérovingien, encore appelé "Crista" ou "Croix de Tolède", qu'il venait de rapporter de cette ville d'Espagne.
Un serpent rouge (dessinant un Epsilon grec) figure également sur le tableau de Nicolas POUSSIN : l'hiver ou le Déluge.
La tête du serpent près du symbole de Vénus au sommet du Cardou
La tête du serpent près du symbole de Vénus
au sommet du Cardou
Rennes-le-Château (anciennement RHEDAE=Aer red=serpent rouge) est dans le périmètre de la constellation du Dragon.
Le Dragon de Rhedae
"Quel étrange mystère recèle le nouveau temple de SALOMON édifié par les enfants de Saint VINCENT."
La Compagnie du Saint-Sacrement
"comme OLIER dans son cercueil"
Le Prieuré de Sion créé en 1681 à RLC
"() ma vue semblait incapable de voir le sommet où demeurait cachée la merveilleuse endormie."
Marie-Madeleine
"() Jadis les uns l'avaient nommée : ISIS, reine des sources bienfaisantes, VENEZ A MOI VOUS TOUS QUI SOUFFREZ ET QUI ETES ACCABLES ET JE VOUS SOULAGERAI, d'autres : MADELEINE, au célèbre vase plein d'un baume guérisseur."
"Les initiés savent son nom véritable : NOTRE DAME DES CROSS."
Notre-Dame de Marceille (près Limoux), sanctuaire de Dieu
Le chemin de croix de l'église de RLC est l'illustration parfaite de la la page 280 de la VLC de Boudet. Ce texte fait référence à Notre Dame de Marceille et à Notre Dame des Cross :
"La fontaine de Marceille dût, comme les autres, être ornée d'une statue de la Sainte Vierge. Est-ce celle qui, perdue au milieu des tourmentes des invasions Sarrasines, a été plus tard retrouvée et placée avec honneur dans le sanctuaire destiné à la recevoir ? Cela nous parait fort probable. Cette image de la Sainte Vierge, tenant sur ses bras son divin Fils et sculptée dans un bois noir, indique sa provenance orientale : sa position auprès d'une fontaine, et c'est bien dans un champ voisin de la petite source qu'on l'a retrouvée, nous désigne les premiers temps du Christianisme dans les Gaules. Ces probabilités prennent une forme encore plus grave, si nous cherchons à pénétrer le sens du nom de Notre Dame de Marceille ou Marsilla.
Les nouveaux chrétiens, se confiant en la tendresse de la Mère du Seigneur Jésus, seront venus demander, à genoux aux pieds de son image placée auprès de la fontaine, la guérison ou l'adoucissement de leurs souffrances corporelles, et ces Gaulois, auront exprimé dans le mot Marsilla la somme des faveurs les plus ordinaires obtenues de la bonté de la Sainte Vierge : elle était pour eux Notre-Dame de Marsilla, ou des yeux gâtés, endommagés et fermés par la mala-
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die – to mar, gâter, endommager, – to seel (sil), fermer les yeux –. L'ignorance de la prononciation des mots celtiques a pu seule conduire, dans la suite des temps, à dire marseel, (Marceille) pour Marsil.
Nous pourrions citer encore le nom d'un autre sanctuaire de nos contrées, situé près de Caunes et appelé Notre-Dame du Cros. Là aussi, au-dessus de la magnifique fontaine qui jaillit au pied de la montagne, on avait marqué une croix – cross, croix –. Une statue de la Sainte Vierge a, plus tard, remplacé la croix auprès de la fontaine, et le sanctuaire bâti à peu de distance, a reçu le nom de Notre-Dame du Cros ou Notre Dame de la Croix."